Sculptures

Exposer les matières, exalter leurs propriétés, mettre en valeur leurs différentes textures, leurs visages, leurs paysages... autant de chemins empruntés durant des années.

 

Les séries de marbres sont nées du jeu des textures, entre impact et usure. Ce n’est pas une thématique prédéfinie qui lie les ensembles de ces sculptures, mais un ensemble de motifs et de textures récurrents, qui ont construits l’œuvre.

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Les calcaires blancs reprennent certains récits mythologiques, mais recontextualisés.

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​La série de terracotta noire est inspirée de l’univers du métro. Le métro est un monde. Il est aussi le Monde, mélanges socio-culturels et reflets de la société urbaine ; théâtre de la précarité psychique et sociale, de l’aliénation... Les quais deviennent ici le support onirique d’idées sombres ; d’une vision intime de l’anxiété collective. L’œuvre, s’est construite au fil des années... Elle se déroule en petits groupes de deux ou trois éléments, créant des séquences de moments, d’instants anecdotiques de notre quotidien. Ces pièces ont été «croquées» dans l’argile sans idées préconçues, parfois rêvées dans la torpeur de l’atelier....

 

Une thématique récurrente : l’aliénation. Les architectures labyrinthiques, l’humanité perdue, des individus désincarnés, perdus...Et toujours : l’espoir. A travers une main tendue, le rêve, la géométrie fascinante révélant notre esprit inépuisable, la fantaisie parfois.

 

Les lectures sont innombrables, personnelles, les interprétations seront donc multiples.

 

Que chacun s’y invente son monde.

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